V E N D R E D I 1 3 C H E Z T A N T E J E A N N E
- Auteur: Arnaud Cathrine
- Édition: L'école des loisirs
- Année d'édition: 2001
- Nombre de pages: 96
- 4ème de couverture: Tout est prêt pour le départ : les 57 paires de chaussures de Maman, la cassette de Brigitte Fontaine pour l’autoradio, et le "Passeport pour la 4ème" de Gaspard. Tout est comme d’habitude : les vacances made in Normandie – sa maison de famille, ses éclaircies de 32 secondes, ses cousins préférés, ses guitares sur la plage, ses karaokés au bar du casino. Et puis le téléphone sonne. C’est pour annoncer la mort de tante Jeanne. Tante Jeanne et sa piscine marron, tante Jeanne qui détestait les couples et adorait les divorces, tante Jeanne qui n’avait pas d’enfants. Gaspard est en rage. Cette tante Jeanne qu’on ne connaît même pas va tout flanquer par terre, avec son enterrement pendant les vacances. Mais au cours du séjour improvisé dans sa maison, sans elle, il va faire connaissance avec cette vieille dame morte à 96 ans, dont le journal intime est planqué dans un tiroir du buffet. Connaissance avec elle et avec beaucoup d’autres choses encore.
A P P R É C I A T I O N
Encore une lecture mitigée. J'aurais cru, d'après la quatrième de couverture, à une histoire plus sentimentale, surtout d'après la dernière phrase. "Connaissance avec elle et avec beaucoup d'autres choses encore", cette phrase laisse à penser à quelques passages intimes, sensibles, mais ce n'est absolument pas le cas. J'ai trouvé dommage... En fait, en y réfléchissant, je ne trouve pas l'histoire mauvaise ni rien, c'est juste que le résumé est très mal écrit et qu'il laisse à croire beaucoup de choses absolument pas présentes dans le livre lui-même. Donc, ne vous attendez pas à quelque chose de très sentimental (du genre un petit garçon qui découvre sa tante sous un angle nouveau, avec une magnifique histoire d'amour à la clef, à travers un vieux journal écrit à l'encre bleue claire et dont les pages sont jaunies par le temps).
A part ça, ce livre est écrit d'une plume légère et sympathique, malgré une petite exagération sur l'utilisation du verbe "mater", que l'auteur utilise sans cesse (autrement dit, à la place de chaque verbe concernant la vue), alors qu'il n'a souvent - très souvent, même - pas lieu d'être. Oui, on ne "mate" pas le paysage à travers la vitre d'une voiture, ni un tas de vêtements ou un chien.
Enfin, avant que j'oublie, je voulais aussi souligner que c'est un livre qui se lit très vite - je l'ai lu en 45 minutes top chrono - et il m'a donc été assez agréable de le lire, parce que ça change un peu des pavés pesant 4,5 kilos que je lis d'habitude.
Bref, une lecture agréable, mais légèrement décevante sur l'idée que je m'en étais fait avant.
A part ça, ce livre est écrit d'une plume légère et sympathique, malgré une petite exagération sur l'utilisation du verbe "mater", que l'auteur utilise sans cesse (autrement dit, à la place de chaque verbe concernant la vue), alors qu'il n'a souvent - très souvent, même - pas lieu d'être. Oui, on ne "mate" pas le paysage à travers la vitre d'une voiture, ni un tas de vêtements ou un chien.
Enfin, avant que j'oublie, je voulais aussi souligner que c'est un livre qui se lit très vite - je l'ai lu en 45 minutes top chrono - et il m'a donc été assez agréable de le lire, parce que ça change un peu des pavés pesant 4,5 kilos que je lis d'habitude.
Bref, une lecture agréable, mais légèrement décevante sur l'idée que je m'en étais fait avant.
Une lecture agréable.
★ ★ ★ ★ ★
Il y a seulement 46 pages ? À moins que ce ne soit 96 ? (je ne vois pas bien le nombre... --')
RépondreSupprimerCe n'est pas énorme, mais cela suffit pour une petite lecture du soir. ^
Non, c'est bien 96 (nonante-six).
RépondreSupprimerExactement, c'est aussi chouette car c'est léger. ^^
Ok merci !
RépondreSupprimerCa ne fait pas énorme mais si c'est bien écrit, le livre peut être vraiment bien. ;)
Salut Joey!
RépondreSupprimerTon nouveau blog est génial!
Camille la suisse du Forum
Coucou!
SupprimerMerci. ^^
(ouioui je vois)